ARTWORKS OF THE DEVIL

Welcome to artworks of the devil, l’univers des illustrations de pochettes de disques de hard et du heavy, du death, du black, du speed, du stoner, du truc-core, du sludge… Bref du merveilleux monde du métal.

Un univers où le bon gout, la grâce et l’élégance se tiennent par la main pour défendre de hautes valeurs morales, respectueuses de la famille, de la religion, de notre société qu’elle est bonne avec nous parce qu’on le vaut bien.

Suivez-moi sur le chemin chatoyant où cohabite paix, bonne humeur pour le plus grand plaisir des sens…

Fuc…king bullshit que tout ça ! Ici vous entrez à vos risques et périls, un monde immonde, un univers vert, une galaxie si… dérangée que les plus fragile d’entre vous n’en sortiront pas indemne. Du choquant, du vulgaire, de l’extrême mauvais goût bien au-delà de ce que vous pensiez être la limite.

Des épées, des body-buildés, des pin-up dégénérées, des chevaliers, des brushings, un endroit où même la mort s’invite. Un monde où la bienséance n’existe pas, où le blasphème est une religion et vice et versa. où le ridicule ne tue pas (quoique !), où le second degré et le premier cohabite sur une frontière un peu floue et complètement foutraque.

Bref, du beau, du moins beau, du autre et du carrément moche... This is Artworks of the Devil.

VENOM 2006 Metal Black


Cette pochette est un cas assez rare de remake. Alors oui, la copie, le pompage, le plagiat sont monnaie courante dans le domaine mais il s’agit bien ici d’un « refaisage ». En 1982 Venom sort son deuxième album Black Metal (qui contrairement à ce que son titre laisse supposer  n’est pas black du tout) un petit disque qui fit un peu de bruit en son temps (certainement parce qu’il était très bruyant). Et voilà qu’en 2006, Venom décide de s’autocélébré en sortant ce Metal Black (Black Metal /Metal Black, pour ceux qui n’aurait pas saisi la subtilité du truc) et en faisant une version 2.0 de la pochette, avec des tas de trucs qu’il ne pouvait pas se payer en 1982, comme des textures, des dégradés et tout le bazar.

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