ARTWORKS OF THE DEVIL

Welcome to artworks of the devil, l’univers des illustrations de pochettes de disques de hard et du heavy, du death, du black, du speed, du stoner, du truc-core, du sludge… Bref du merveilleux monde du métal.

Un univers où le bon gout, la grâce et l’élégance se tiennent par la main pour défendre de hautes valeurs morales, respectueuses de la famille, de la religion, de notre société qu’elle est bonne avec nous parce qu’on le vaut bien.

Suivez-moi sur le chemin chatoyant où cohabite paix, bonne humeur pour le plus grand plaisir des sens…

Fuc…king bullshit que tout ça ! Ici vous entrez à vos risques et périls, un monde immonde, un univers vert, une galaxie si… dérangée que les plus fragile d’entre vous n’en sortiront pas indemne. Du choquant, du vulgaire, de l’extrême mauvais goût bien au-delà de ce que vous pensiez être la limite.

Des épées, des body-buildés, des pin-up dégénérées, des chevaliers, des brushings, un endroit où même la mort s’invite. Un monde où la bienséance n’existe pas, où le blasphème est une religion et vice et versa. où le ridicule ne tue pas (quoique !), où le second degré et le premier cohabite sur une frontière un peu floue et complètement foutraque.

Bref, du beau, du moins beau, du autre et du carrément moche... This is Artworks of the Devil.

• SCORPIONS 1975 In Trance / 1979 Lovedrive / 1980 Animal Magnetism




Pendant quelques années  de cette folle décennie libérée que furent les seventies, les allemands de Scorpions ont eu une belle période sexe déviant dont l’apogée se trouve sur la pochette  Virgin Killer (dont je parle ailleurs sur ce blog) qui va un peu trop loin. Mais il y eu aussi la dame qui fait du sexe avec une guitare (In Trance), La fille Hollywood avec les seins en chewing-gum (Lovedrive),  La tentation zoophile (Animal Magnetism). Un comble pour un groupe qui passe pour romantique à cause de deux, trois ballades mollassonnes qui ont cartonnés dans les hits du monde entier.

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